lundi 31 mars 2014

L'invention d'une maman israélienne qui fait marcher les enfants handicapés (The Upsee)

HuffPost et The Daily Mail: The Upsee: l'invention qui fait marcher les enfants handicapés

PARENTS - C'est le rêve d'une maman de réussir un jour à faire marcher son fils handicapé. Debby Elnatan n'a jamais perdu espoir et a exaucé son rêve. Après des mois de travail elle présente au monde son invention qui permettra à de nombreux enfants handicapés de marcher.  Le concept de cet objet, rapporté par The Daily Mail, est très simple : il suffit, à l'aide d'un harnais de sécurité, d'"accrocher" son enfant à la ceinture. Les attaches peuvent se régler en fonction de la taille de l'enfant. Ensuite des scratchs maintiennent vos pieds afin de pouvoir marcher ensemble. Autrement dit, votre enfant est scotché à vous.

Simple à utiliser, il suffit de s'y habituer. Une fois que votre enfant est installé vous pouvez faire une ballade, vous déplacer dans la maison, jouer au foot en famille... Les loisirs ne seront plus un problème. L'enfant oublie son handicap et peut participer normalement aux activités familiales.
Mobilité, autonomie, dépendance
Les avantages de ce concept sont multiples. En plus de pouvoir réussir à faire marcher un enfant contraint de rester immobile, cet appareil leur apporte une certaine forme d'autonomie. Vu que les bras et les mains sont libres, l'enfant peut choisir d'aller à un endroit pour jouer à un jeu ou encore attraper quelque chose.  D'autre part, cette invention est intéressante sur le plan médical. Même si l'enfant n'est pas maître de ses mouvements, le simple fait de se déplacer lui procure des bienfaits au niveau de sa santé physique (circulation su sang, musculation, entretient des articulations...)

La santé mentale de l'enfant est elle aussi touchée par ce projet. "Il rit et a des fous rires, quelque chose qui ne se produisait pas avec les autres appareils de marche, qu'il considérait plus comme un travail", a déclaré Stacy Warden, la maman de Noah un petit garçon handicapé âgé de 5 ans.
Disponible sur commande directement sur le site internet de la marque à partir du 7 avril prochain. C'est Leckey, une entreprise du nord de l'Irlande, qui a souhaité fabriquer et commercialiser l'invention de cette mère israélienne. L'appareil coûtera environ 500 dollars (soit environ 363 euros). Le représentant de Leckey a dit au HuffPost que la société a été "inondée" de demandes et de renseignements.

2 commentaires :

Anonyme a dit…

Dans un registre similaire:

http://m.lesechos.fr/industrie-services/wiener-pere-de-la-fusion-homme-machine-0203381287642.htm

FRanco

Anne juliette a dit…

Heureusement que dans le monde médical et paramédical, nous ne fonctionnons pas comme dans le monde politique, sinon il faudrait compter les morts par négligence professionnelle ou non assistance à personne en danger. Dans le domaine sanitaire, nous avons une déontologie professionnelle que nous mettons par dessus-tout : nous travaillons ensemble pour le bien de l'autre quelque soit nos idées, nos confessions, notre race, et nos méthodes de travail.

J'ai une collègue anti-israëlienne, donc à mille lieues de mes idées, mais je sais que si j'ai besoin d'aide pour un patient qui va mal ou si elle a besoin d'aide parce qu'un patient devient violent, nous nous soutiendrons mutuellement.
Celle qui laisserait sa collègue dans la difficulté se verrait désavouer par toutes les autres et ce n'est que justice.

Et c'est pareil pour les patients : nous les soignons tous de la même manière. Le plus dur dans ma carrière a été de donner des soins à un homme qui avait été frappé parce qu'il avait violé plusieurs petites filles dont la plus jeune avait deux ans .






PS : Tout à fait autre chose à l'intention du Premier Ministre : A Nancy Astor, une députée conservatrice qui disait à Winston Churchill, avec qui elle avait une forte inimitié : "Monsieur, si vous étiez mon mari, j'empoisonnerai votre café", ce dernier répondit : "Madame, si vous étiez ma femme, je le boirai."


Montebourg a une déontologie professionnelle.
Par contre, je ne souhaite pas à Madame Duflot de se trouver aux urgences face à deux mauvais médecins ou deux mauvaises infirmières qui se détestent et qui ne veulent pas travailler ensemble si un de ses proches a besoin de soins rapides.
Travailler pour le bien des français est aussi important que de soigner des personnes : si, on ne le comprend pas, il faut qu'on fasse autre chose.